Le Martinet, comment choisir?

Le Martinet, comment choisir?

Le Martinet, comment choisir? 14 avril 2023 Un conseil avisé de The BDSM Boudoir

Le Martinet

Objet de toutes les craintes et de tous les fantasmes, le martinet est originellement un outil à lanières de cuir utilisé par le passé pour punir ou faire peur aux enfants.

Il est considéré de nos jours comme un accessoire de BDSM, plutôt soft car son utilisateur ne cherchera pas spécialement à blesser, mais plutôt procurer des sensations physiques et mentales excitantes.

C’est l’un des premiers accessoires, avec les contraintes (menottes, baillons, foulards…) à se procurer lorsque vous désirez vous initier au SM ou au BDSM.

Mais parmi les multitudes de modèles et d’offres présentent sur le net, comment choisir ?

Avant toute chose, privilégiez la qualité afin de ne pas vous blesser ni vous, ni votre partenaire, et pour que votre jouet soit sécurisé,  efficace et en bon état pendant longtemps.

Vous devez d’abord savoir que chaque type de martinet provoque des sensations différentes, il sera donc plus simple de choisir si vous avez une idée plus ou moins concrète des sensations recherchées.

 

Tout d’abord la matière :

Le cuir doux, le daim et les textiles sont utilisés pour une douleur modérée et des caresses.

Le similicuir fera un peu plus mal. Tout comme le latex.

Le cuir dur sera plus douloureux, tout comme le PVC , nous le conseillons au public avec de l’expérience.

Les lanières tressées, donc plus lourdes, seront également plus douloureuses.

 

Le nombre et la longueur des lanières :

Pour caresser et jouer avec les nerfs de votre partenaire, choisissez un martinet court et avec plus de 30 lanières.

Pour faire légèrement mal sans le ou la brusquer, des lanières courtes mais moins nombreuses ( entre 15  et 30).

Pour faire mal sans laisser de traces, choisissez un martinet entre 9 et 15 lanières.

Un martinet long (plus de 50cm) sera plus difficile à manier et fera plus mal, nous le déconseillons aux débutants. 

En bref, n’hésitez pas à poser la question à votre partenaire afin de décider, ensemble, des limites à la douleur qu’il ou elle souhaite imposer. Cela vous aidera a faire le bon choix.

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